Las des bains de boue accroché à sa bouée…, le Kervegon, mu par l’appel du large, a rejoint dimanche ses petits camarades de la Noeveillard. A son bord 3 skippers, un aspirant de prestige et un avitaillement aux petits oignons. Passé le marais Audubon, on ne s’attend pas à succomber au charme bucolique du plus grand fleuve sauvage d’Europe ( Sic !) Fumées sulfureuses et effluences fluorées des usines Yara et consorts ne prêtent certes pas à la rêverie poétique. Pourtant, par cette journée où le soleil jouait à chat avec les nuages, la luminosité particulière d’un matin automnal donnait un charme certain à la rive droite que nous avons longée jusqu’à la mer. J’en veux pour preuve ces quelques photos où la lumière changeante d’un ciel instable faisait miroiter les couleurs des monstres d’acier qui patronnent l’entrée de l’estuaire offrant un curieux mais joli contraste avec la richesse de la biodiversité du fleuve vantée par les guides touristiques.( Si,si j’insiste !) Quoi qu’on en pense, c’est promis et c’est même sûr, la remontée se fera par la rive gauche (celle qui a échappé de peu à l’avenir de sa consœur quand un certain Napoléon a donné sa préférence à st Nazaire et dédaigné Paimboeuf pour l’implantation d’un grand port ). Fort de ces considérations historiques, le Kervegon vous attend dans le port de Pornichet ou du Crouesty selon vos desiderata pour de belles navigations et nouvelles aventures avant sa pause hivernale courant novembre. Voici, en 3 tomes,. un reportage photo de cette « charmante » et rapide navigation.










du jour entièrement « fait bateau ».
A savoir:


le tout suivi par fromage ,salade, dessert, café.
C’est chouette de pouvoir disposer d’une cuisine opérationnelle
La suite du voyage sous un beau soleil et un beau ciel.














Suite et fin de ce sympathique voyage.













Beck Jean-Perre